quarta-feira, 10 de dezembro de 2014

Nouvelle Vague



Utilisée pour la première fois en 1958 par la journaliste Françoise Giroud dans le magazine L’Express, l’expression Nouvelle Vague a désigné un mouvement artistique du cinéma français imprégné par l’esprit contestataire propre des années 60s.
Il est curieux  que cet important phénomène cinématographique soit apparu presque  par hasard comme une réaction à l’esthétique cinématographique  du cinéma traditionnel français. Les auteurs appelés Nouvelle Vague étaient ceux qui provenaient de l’école critique du Cahiers du Cinema des années 50s, comme Claude Chabrol, Jean-Luc Godard e François Truffaut.
Pour comprendre ce mouvement artistique, il faut faire un retour à la décennie des années 50. La période d’après Guèrre, entre 1945 et 1958, est marquée par une continuité dans les règles de production industrielle des films, où il y avait souvent une production cinématographique dont la hermétique était fermée, avec un but commercial. Il faut dire que même l’accès à la carrière de réalisateur était une chose difficile. La plupart du temps, pour devenir réalisateur, il était nécessaire de passer plusieurs années en tant qu’assistant, ce qui les imprégnait des modèles anciens pour faire du cinéma. 
D’une façon générale, on peut dire que les réalisateurs de 1955 avaient un esprit assez vieux. Ils avaient établi des règles très strictes de ce qu`ils pensaient être “un film de qualité” fondé sur un trépied: a) Priorité à la réalisation des dialogues; b) prises en studio; et c) des acteurs populaires et expérimentés.
Ainsi, cette nouvelle génération de jeunes réalisateurs qui était imprégnée par un esprit de changement va rompre avec la façon traditionnelle de faire du cinéma. La Nouvelle Vague était donc un mouvement de la jeunesse, qui était protagoniste d’une révolution dans la façon d’écrire et faire les films avec une manière presque adolescente et politiquement  irresponsable des jeunes, mais aussi avec un rare bagage culturel.  
 À cette époque, il ne s’agissait vraiment pas d’un mouvement cinématographique, mais d’une agglutination de jeunes réalisateurs remarquable par quatre caractéristiques principales: a) mécontentement avec la morale et l'esthétique bourgeoises; b) opposition à l'univers bien comporté du cinéma commercial; c) créativité pour compenser les petits budgets; et d) mettre en valeur le réalisateur comme auteur de l’œuvre cinématographique. À cause de cette caractéristique, plusieurs films ont été réalisés en dehors des studios, ce qui leur a donné un air plus réaliste, en amenant le quotidien aux écrans. 
Pour finir, cette Nouvelle Vague n’est pas restée seulement sur le territoire français. En réalité, ce mouvement a influencé le monde entier, en conduisant une nouvelle forme de film  de création,  innovante et indépendante.

Rafael Nunes 


Les Quatre Cents Coups

Après la deuxième guerre (1939-1945), la cinéphilie et les ciné-clubs se développent rapidement en France. On crée des nouvelles revues de critiques de cinéma dont les textes étaient plutôt des manifestes virulents contre la façon de réaliser les films et l’esthétique du cinéma de l’époque. Les auteurs « fustigeaient la dictature des trois piliers de l’industrie du cinéma français : les producteurs, les scènaristes et les vedettes ».
Trois de ces auteurs sont devenus, en peu de temps, metteurs en scène : Claude CHABROL, Jean-Luc GODARD et François TRUFFAUT. Pendant les années 1958 et 1959 ils ont réalisé les trois longs métrages qui inaugurent officiellement la production de cette jeunesse nommée « nouvelle vague » : Le beau Serge (Chabrol) ; À bout de souffle (Godard) ; et Les quatre cents coups (Truffaut). Avec ces films, et d’autres courts métrages précédents, ils se sont imposés comme les pionniers  de nouvelles formes de réaliser.Dans  « Les quatre cents coups », Antoine Doinel est le héros de cette oeuvre, inaugurant une série sur la vie de ce personnage. Il vit son adolescence à Paris. L’histoire de Truffaut et du héros se confondent: Truffaut était né de « père inconnu, placé chez la grande mère maternelle, élevé dans l’école buissonnière, voleur par accident, conduit au comissariat, et enfoncé ainsi dans la petite délinquance ». 
À cause de la proximité des histoires de l’auteur et du personnage, le réalisateur fait appel à M. Mousy qui animait à la telévision une émission qui portait sur les conflits entre parents et enfants. Celui-ci a travaillé sur les dialogues des adultes, pendant que les textes des enfants dans le film provenaient surtout de l’improvisation. 
Le film de Truffaut est aussi une réaction au film de Jean Delannoy, « Chiens perdus sans collier » qui « ne donne pas à sentir la gravité des enfants ». Le succés du film, parallèle au succés du mouvement, l’a fait atteindre rapidement un chiffre de 450.000 spectateurs. Ces années d’après guerre montrent la bonne santé économique du cinéma. 
Le film a été réalisé en trois mois : Du 10 Novembre 1958 au 5 Janvier 1959 en utilisant beaucoup de décors naturels à Paris. Il faut rappeller que, au delà de la libre expérimentation, les petits bugdets pour réaliser les films devaient être respectés, en opposition au cinéma plus classique. 
Antoine Doinel se pose des questions sur les pouvoirs des instituitions et leurs influences sur la vie quotidienne des personnes. La famille et l’école n’arrivent pas à bien comprendre ce qui se passe dans la tête d’un adolescent et le répriment lourdement. Au début du film, on constate comment Truffaut a décidé de traiter la répression : L’appartement étouffant des Doinel, très étroit, en opposition aux espaces que le héros rencontre dans les rues, ou dans l’appartement de son ami, René. Le jeune Antoine décide, alors, de vivre des aventures dans les rues parisiennes aux côtés d’un ami dont la famille se fiche du comportement. 
La position d’Antoine est toujours celle d’un délinquant, rebelle aux régles imposées par sa famille et le professeur d’Anglais qui ne lui font jamais confiance. Les problèmes qu’il connait le mènent à la fuite constante. C’est dans les rues, aux côtés de son ami, qu’il devient rusé dans des petits vols. 
Le film est partagé en deux grandes parties : une urbaine et l’autre à la campagne, au bord de mer. Dans la première, le découpage temporel par journées est bien marqué . C’est à dire que les scènes sont jouées en racontant les habitudes quotidiennes de Doinel. 
En raison de l’aggravation progressive des actions de Doinel qui commet de plus en plus de délits, son beau-père menace de l’envoyer en maison de correction. Il exécute cette menace: il le met dans une maison de correction pour les jeunes, et c’est là, dans la partie finale que le rêve d’Antoine de connaître la mer se réalise enfin. 
C’est dans cette deuxiéme partie, à la campagne, que se réalise vraiment la libération du héros : Il sort d’un appartement minuscule, connait l’espace des rues, et enfin il traverse des champs, des maisons, des bois, dans une longue course vers la mer.

Jeremias Cavalcanti

Les Acteurs




Jean Pierre Léaud est un acteur français, fils d’artistes, car sa mère était une actrice, et son père était un acteur et un scénariste aussi. Jean Pierre était très connu par sa manière de parler et de bouger son cheveux. Lorsqu’il avait 13 ans, il a fait son premier travail, il a joué dans le film “La Tour, Prends Garde (1957)”. Pour ses 14 ans, il a répondu à une annonce qui cherchait quelqu’un pour interpréter “Antoine Doinel”, un jeune problématique dans un film de “François Truffaut”. Aprés faire l’examen des centaines d’auditions d’autres jeunes, sa capacité à improviser s’est fait remarquer, elle a attiré l’attention du réalisateur qui l’a engagé pour “Les Quatre Cents Coups (1959)”
Puis il a joué le même personnage d’Antoine Doinel dans d’autres film. “L’amour à vingt ans (1962)”, “Baisers Volés (1968)”, “Domicile Conjugal (1970)”, “L’amour em fuite (1979)”.
Son contact avec Truffaut l’a fait connaître par les autres réalisateurs de la Nouvelle Vague, par exemple, Jean-Luc Godard. Avec Léaud, il a travaillé dans 8 filmes pour le cinéma e la télé. Il a travaillé aussi comme assistant de deux réalisateurs. Il a fait un pétit, “De quoi s’agit-il? (1974)”. Il a été le scénariste dans le documentaire “Léaud de Hurle-dents (2004)”. Et il a travaillé aves deux réalisateurs brésiliens, Cacá Diques et Galuber Rocha.
Il est venu au Brésil en 1968, pendant  l’époque de la dictature militaire, parce qu’il était militant politique, pour faire un discours à des étudiants de l’université de Brasília. Cet événement est dans le documentaire “Barra 68 – Sem Perder a Ternura (2001)” de Vladimir de Carvalho.
À partir des années 80, il a commencé à travailler pour la production à la télé, tandis que le cinéma n’était plus son but principal. Dans les années 90, il a été recherché par quelques réalisateurs qui voulaient le faire réapparaître. Enfin, son interprétation d’Antoine Doinel dans le film “Les Quatre Cents Coups” a été élue à 98ª en le classement des cent plus grandes personnages de tous les temps de la revue Premiere Magazine.



Jean Paul Belmondo est un acteur français qui est né en 9 d’avril de 1933. Il est fils du célèbre sculpteur Paul Belmondo et de la danseurese Madeleine Belmondo. Pendant son enfance, il n’a pas bien étudié. Néanmoins il a développé une grande passion pour la boxe et le football. Il a pensé devenir boxeur, mais il a renoncé à fair du sport. Il a commencé à jouer quand il avait 17 ans. En 1954, il a réussi à étudier au Conservatoire de Paris et a commencé aussi sa carrière dans le cinéma en 1955 en interprétant plusieurs personnages secondaires. En premier grand rôle a été dans “À Bout de Souffle” de Jean-Luc Godard em 1960, que lui a permis de devenir un grand acteur de la Nouvelle Vague. 
En 1964, il est venu au en Brésil pour jouer le film “L’homme du Rio”, et tournera des scènes colorés dans une ville qui venait d’être construite, Brasília, une relique historique de la nouvelle capitale.
En 2001, il a été hospitalisé pendant deux semaines, mais il a bien récupéré. Il est important de dire encore qu’en 2011, lors du festival de Cannes, Jean-Paul Belmondo a reçu une Palme d'honneur pour l'ensemble de sa carrière. Il est apparu au festival accompagné de Barbara Gandolfi. Un documentaire lui est consacré à cette occasion, Belmondo, itinéraire..., avec une diffusion simultanée sur France 2 et sur la Croisette.
 

Hugo Lima

quarta-feira, 3 de dezembro de 2014

Jean-Luc Godard



Jean-Luc Godard est un célèbre cinéaste d’origine franco-suisse, né  le 3 décembre 1930 à Paris. 
En 1954, il realize son premier film, qui s’appelle “Operation Beton”. Quelques années plus tard, en 1959, il termine la realization de son premier ling métrage, un très grand succès, “À bout de souffle”. C’est le début de La Nouvelle Vague. 

 Les autres films de Godard sont “Vivre sa vie”; “Pierrot le fou”; “Alphaville”; “Deux ou trois choses”, etc.
Aprés 1968, il s’occupe du cinema politique et produit “Jusqu’à la victoire” et “Le vent d’Est”.
En 1984, son film “Je vous salue, Marie” a provoqué la polemique et a inspire le nom d’un club carnavalesque: “Je vous salue, Marly”, une satire de la première dame du Brésil à l’époque, qui s’appelait “Marly”.
Au Festival de Venise, il a reçu le prix “Lion d’or”, pour son film “Prénom Carmen”.





Antônio Ramos

François Truffaut





Cinéaste français, fondateur des cahiers du cinéma et de la Nouvelle Vage avec ses collègues. Réalisateur, scénariste, producteur, acteur et critique de cinéma ou auteurs de plusieurs ouvrages sur le cinéma.
François Truffaut est né le 6 février 1932 à Paris, de père inconnu et d´une mère secrétaire au journal L´Illustration. François Truffaut vit une enfance difficile. Il a été confié à sa grand-mère. Dans son adolescence il était déjà passionné de lecture surtout de Balzac et de cinéma, il découvre avec son ami Robert Lachenay le cinéma américain et en 1948 il ouvre un ciné-club, Cinémane au Boulevard Saint-Germain.
Truffaut rédiges ses premiers articles dès 1950 à travers de la section cinématographique de Travail et Culture. Ensuite il s´engage dans l´armée en 1951 suite à une déception amoureuse. Aprés avoir fait de la prison militaire pour désertion. il trouve en 1952,un post, au service cinématographique du ministère de l´Agriculture.
Il publie des articles dans les Cahiers du Cinéma qui est formé avec André Bazin, Claude Chabrol, Jacques Rivette, Jacques Demy, Éric Rohmer et Jean-Luc Godard, d’une équipe de jeunes journalistes enthousiastes . En 1954, il publie dans les Cahiers « Une certaine tendance du cinéma français», un texte pamphlétaire contre les cinéastes de « qualité française ».  L'article vise notamment les scénaristes Jean Aurench et Pierre Bost, et le réalisateur Claude Autant-Lara. Il défend le cinéma d´auteur contre le  cinéma commercial avec une grande intransigeance, un dogmatisme de jeunesse qu'il confiera regretter dans des propos recueillis en 1984 par Bert Cardullo.
Il réalise un bout d´essai, Une visite, son premier film, et rédige le scénario d' À bout de souffle. L´année suivante, en 1955, il réalise ses premières interviews d' Alfred Hitchcock, et publie, à côté d'un hommage dévot à Jean Cocteau, une nouvelle, Antoine et l'orpheline, dans la revue La Parisienne.. ). Il ne tarde pas à obtenir une certaine notoriété et participe à l’émancipation d’un cinéma d’un nouveau genre, plus libre.
Protagoniste d’un mouvement d’idées novatrices, le critique brûle de passer à la pratique. Il realize d´abord deux courts métrages (Une visite, 1954 ; Les Mistons, 1957). En 1958, il est interdit de festival de Cannes, a cause de ses très violentes critiques contre l´industrie française du cinéma.
Il écrit et réalise Les Quatre Cents Coups, son premier long métrage, en 1959. Trois de ses longs métrages sont centrés sur des personnages d´enfants  Dans ce premier film, (Les Quatre cents coups) le cinéaste s’inspire de sa propre enfance (L'Enfant sauvage et L'Argent de poche, aussi). Salué par la critique et le public, récompensé par le Prix de la Mise en Scène au Festival de Cannes, Le film participe à l’émergence de la Nouvelle Vague, un mouvement cinématographique qui bouleverse les codes du cinéma, et composé en partie de critiques des Cahiers devenus cinéastes (Jean-Luc Godard, Claude Chabrol, Eric Rohmer…). Le film est également le premier opus de la saga Antoine Doinel qui sera complétée par quatre épisodes (Antoine et Colette, 1962 ; Baisers volés, 1968; Domicile conjugal, 1970 ; L' Amour en Fuite, 1979). Cette même année son scénario A bout de souffle est adapté par Jean-Luc Godard, un cinéaste dont il est très proche avant que des divergences ne les séparent.
« Je fais des films pour réaliser mes rêves d´adolescent, pour me faire du bien et, si possible, faire du bien aux autres.»

 


Cinéaste exceptionnel, François Truffaut est également un homme qui aimait les femmes, autre de ses influences dans ses oeuvres.
 La relation aux femmes, l'impossible entre éros et thanatos, est le sujet central de la plupart des films de Truffaut quand il ne s'agit pas de l'enfance. Sept d'entre eux dressent le portrait d'une femme dont la victime est un héros emprisonné dans une relation pathologique. L'héroïne est folle d'amour, folle jusqu'au meurtre, dans La Peau douce, La Mariée était en noir, Une belle fille comme moi et La Femme d'à côté. Dans La Sirène du Mississippi, c'est le héros qui est conduit par sa sirène fatale au crime passionnel. Dans L'Histoire d'Adèle H., l'érotomanie de l'héroïne se retourne contre elle même. Seule la grande amoureuse jouée par Fanny Ardant dans Vivement dimanche! manipule le héros pour son salut.
« Les jambes des femmes sont comme des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie. »
« Aucune femme n'est pareille. Chacune a quelque chose d'unique et d'irremplaçable.  »

Cinéaste autobiographique, François Truffaut apparaît comme acteur de plusieurs de ses films. Il est le personnage principal de La Chambre verte (1978), La Nuit américaine (1973), L'Enfant sauvage (1970) .
« Qu'on écrive un roman ou un scénario, on organise des rencontres, on vit avec des personnages ; c'est le même plaisir, le même travail, on intensifie la vie. »



Très proche de ses actrices, il collabore régulièrement avec les mêmes comédiennes, telles que Jeanne Moreau (Jules et Jim, La Mariée était en noir), Catherine Deneuve (La Sirène du Mississipi, Le Dernier métro), Nathalie Baye (La Nuit américaine, La Chambre verte) ou encore Fanny Ardant (La Femme d'à côté, Vivement dimanche !).  Cette dernière a d’ailleurs été sa dernière compagne et restera à ses côtés jusqu'à son décès le 21 octobre 1984, des suites d’une tumeur cérébrale à seulement cinquante deux ans.
Victime d´une tumeur cérébrale, en mars 1984, il apparaît sous le masque de la maladie dans l'émission Apostrophes que Bernard Pivot  lui consacre à l'occasion de la réédition, sous le titre Hitchcock / Truffaut , du livre qu'il avait publié sur son maître en 1966. L'intervention chirurgicale ayant été trop tardive, la mort survient le 21 octobre 1984 à l'hôpital américain de Paris de Neuilly-sur-Seine. Il est incinéré au cimetière du Père-Lachaise et ses cendres sont déposées au cimetière de Montmartre à Paris.



Aujourd’hui encore, l’œuvre de François Truffaut continue d’influencer des générations de cinéastes, que cela soit à travers ses films mais également par ses écrits (notamment ses célèbres entretiens avec Alfred Hitchcock). Plusieurs documentaires lui sont consacrés dont François Truffaut : portraits volés (1992), François Truffaut, une autobiographie (TV) (2004) ou encore Deux de la vague (2007), retraçant son amitié passionnelle et houleuse avec Jean-Luc Godard.

Films notables
 Les Quatre Cents Coups  
Jules et Jim  
La Peau douce  
Fahrenheit 451 
La Mariée était en noir 
Baisers volés 
L'Enfant sauvage  
Les Deux Anglaises et le continent 
La Nuit américaine 
L'Argent de poche  
L'Homme qui aimait les femmes 
La Chambre verte  
La Femme d'à côté  
Le Dernier Métro.

Prix et Nomination
  • Festival de Bruxelles 1958 : prix de la mise en scène pour Les Mistons
  • Festival de Cannes 1959 : Prix de la mise en scène pour Les Quatre Cents Coups
  • Oscars 1974 : Oscar du meilleur film étranger pour La Nuit américaine
  • Césars 1976 : nomination au César du meilleur réalisateur pour L'Histoire d'Adèle H.
  • Césars 1981 : César du meilleur réalisateur pour Le Dernier Métro
  • Césars 1981 : César du meilleur film pour Le Dernier Métro
  • Césars 1981 : César du meilleur scénario original ou adaptation pour Le Dernier Métro
  •  Césars 1984 : nomination au César du meilleur réalisateur pour Vivement dimanche !
 
Goretti M S Deschamps