Utilisée pour la première fois en 1958 par la journaliste Françoise Giroud
dans le magazine L’Express, l’expression Nouvelle Vague a désigné un mouvement
artistique du cinéma français imprégné par l’esprit contestataire propre des
années 60s.
Il est curieuxque cet important phénomène cinématographique
soit apparu presque par hasard comme une
réaction à l’esthétique cinématographiquedu cinéma traditionnel français. Les auteurs appelés Nouvelle Vague étaient
ceux qui provenaient de l’école critique du Cahiers du Cinema des années 50s,
comme Claude Chabrol, Jean-Luc Godard e François Truffaut.
Pour comprendre ce mouvement
artistique, il faut faire un retour à la décennie des années 50. La période d’après
Guèrre, entre 1945 et 1958, est marquée par une continuité dans les règles de
production industrielle des films, où il y avait souvent une production cinématographique
dont la hermétique était fermée, avec un but commercial. Il faut dire que même
l’accès à la carrière de réalisateur était une chose difficile. La plupart du
temps, pour devenir réalisateur, il était nécessaire de passer plusieurs années
en tant qu’assistant, ce qui les imprégnait des modèles anciens pour faire du
cinéma.
D’une façon générale,
on peut dire que les réalisateurs de 1955 avaient un esprit assez vieux. Ils
avaient établi des règles très strictes de ce qu`ils pensaient être “un film de
qualité” fondé sur un trépied: a) Priorité à la réalisation des dialogues; b)
prises en studio; et c) des acteurs populaires et expérimentés.
Ainsi, cette nouvelle génération
de jeunes réalisateurs qui était imprégnée par un esprit de changement va rompre
avec la façon traditionnelle de faire du cinéma. La Nouvelle Vague était donc
un mouvement de la jeunesse, qui était protagoniste d’une révolution dans la
façon d’écrire et faire les films avec une manière presque adolescente et
politiquementirresponsable des jeunes,
mais aussi avec un rare bagage culturel.
À cette époque, il ne
s’agissait vraiment pas d’un mouvement cinématographique, mais d’une agglutination
de jeunes réalisateurs remarquable par quatre caractéristiques principales: a)
mécontentement avec la morale et l'esthétique bourgeoises; b) opposition à
l'univers bien comporté du cinéma commercial; c) créativité pour compenser les
petits budgets; et d) mettre en valeur le réalisateur comme auteur de l’œuvre cinématographique.
À cause de cette caractéristique, plusieurs films ont été réalisés en dehors
des studios, ce qui leur a donné un air plus réaliste, en
amenant le quotidien aux écrans.
Pour finir, cette
Nouvelle Vague n’est pas restée seulement sur le territoire français. En réalité,
ce mouvement a influencé le monde entier, en conduisant une nouvelle forme de
film de création, innovante et indépendante.
Après la deuxième guerre (1939-1945), la
cinéphilie et les ciné-clubs se développent rapidement en France. On crée des
nouvelles revues de critiques de cinéma dont les textes étaient plutôt des
manifestes virulents contre la façon de réaliser les films et l’esthétique du
cinéma de l’époque. Les auteurs « fustigeaient
la dictature des trois piliers de l’industrie du cinéma français : les
producteurs, les scènaristes et les vedettes ».
Trois de ces auteurs sont devenus, en peu de temps, metteurs en
scène : Claude CHABROL, Jean-Luc GODARD et François TRUFFAUT. Pendant les
années 1958 et 1959 ils ont réalisé les trois longs métrages qui inaugurent
officiellement la production de cette jeunesse nommée « nouvelle vague » :
Le beau Serge (Chabrol) ; À bout de souffle (Godard) ; et Les quatre
cents coups (Truffaut). Avec ces films, et d’autres courts métrages précédents,
ils se sont imposés comme les pionniersde nouvelles formes de réaliser.Dans « Les quatre cents coups », Antoine Doinel est le
héros de cette oeuvre, inaugurant une série sur la vie de ce personnage. Il vit
son adolescence à Paris. L’histoire de Truffaut et du héros se confondent:
Truffaut était né de « père inconnu,
placé chez la grande mère maternelle, élevé dans l’école buissonnière, voleur
par accident, conduit au comissariat, et enfoncé ainsi dans la petite délinquance ».
À cause de la proximité des histoires de l’auteur et du personnage, le réalisateur
fait appel à M. Mousy qui animait à la telévision une émission qui portait sur
les conflits entre parents et enfants. Celui-ci a travaillé sur les dialogues
des adultes, pendant que les textes des enfants dans le film provenaient surtout
de l’improvisation.
Le film de Truffaut est aussi une réaction au film de Jean Delannoy,
« Chiens perdus sans collier » qui « ne donne pas à sentir la
gravité des enfants ». Le
succés du film, parallèle au succés du mouvement, l’a fait atteindre rapidement
un chiffre de 450.000 spectateurs. Ces années d’après guerre montrent
la bonne santé économique du cinéma.
Le film a été réalisé en trois mois : Du 10 Novembre 1958 au
5 Janvier 1959 en utilisant beaucoup de décors naturels à Paris. Il faut
rappeller que, au delà de la libre expérimentation, les petits bugdets pour
réaliser les films devaient être respectés, en opposition au cinéma plus
classique.
Antoine Doinel se pose des questions sur les pouvoirs des instituitions et
leurs influences sur la vie quotidienne des personnes. La famille et l’école
n’arrivent pas à bien comprendre ce qui se passe dans la tête d’un adolescent
et le répriment lourdement. Au début du film, on constate comment Truffaut a
décidé de traiter la répression : L’appartement étouffant des Doinel, très
étroit, en opposition aux espaces que le héros rencontre dans les rues, ou dans
l’appartement de son ami, René.Le jeune Antoine décide, alors, de vivre des
aventures dans les rues parisiennes aux côtés d’un ami dont la famille se fiche
du comportement.
La position d’Antoine est toujours celle d’un délinquant, rebelle aux
régles imposées par sa famille et le professeur d’Anglais qui ne lui font
jamais confiance. Les problèmes qu’il connait le mènent à la fuite constante. C’est
dans les rues, aux côtés de son ami, qu’il devient rusé dans des petits vols.
Le film est partagé en deux grandes parties : une urbaine et l’autre à
la campagne, au bord de mer. Dans la première, le découpage temporel par
journées est bien marqué . C’est à dire que les scènes sont jouées en
racontant les habitudes quotidiennes de Doinel.
En raison de l’aggravation progressive des actions de Doinel qui commet de
plus en plus de délits, son beau-père menace de l’envoyer en maison de
correction.Il exécute cette menace: il le met dans une maison de correction pour les
jeunes, et c’est là, dans la partie finale que le rêve d’Antoine de connaître
la mer se réalise enfin.
C’est dans cette deuxiéme partie, à la campagne, que se réalise vraiment la
libération du héros : Il sort d’un appartement minuscule, connait l’espace
des rues, et enfin il traverse des champs, des maisons, des bois, dans une
longue course
vers la mer.
Jean Pierre Léaud est un acteur français, fils d’artistes,
car sa mère était une actrice, et son père était un acteur et un scénariste
aussi. Jean Pierre était très connu par sa manière de parler et de bouger son
cheveux. Lorsqu’il avait 13 ans, il a fait son premier travail, il a joué dans
le film “La Tour, Prends Garde (1957)”. Pour ses 14 ans, il a répondu à une
annonce qui cherchait quelqu’un pour interpréter “Antoine Doinel”, un jeune
problématique dans un film de “François Truffaut”. Aprés faire l’examen des
centaines d’auditions d’autres jeunes, sa capacité à improviser s’est fait
remarquer, elle a attiré l’attention du réalisateur qui l’a engagé pour “Les
Quatre Cents Coups (1959)”
Puis il
a joué le même personnage d’Antoine Doinel dans d’autres film. “L’amour à vingt
ans (1962)”, “Baisers Volés (1968)”, “Domicile Conjugal (1970)”, “L’amour em
fuite (1979)”.
Son
contact avec Truffaut l’a fait connaître par les autres réalisateurs de la
Nouvelle Vague, par exemple, Jean-Luc Godard. Avec Léaud, il a travaillé dans 8
filmes pour le cinéma e la télé. Il a travaillé aussi comme assistant de deux
réalisateurs. Il a fait un pétit, “De quoi s’agit-il? (1974)”. Il a été le scénariste
dans le documentaire “Léaud de Hurle-dents (2004)”. Et il a travaillé aves deux
réalisateurs brésiliens, Cacá Diques et Galuber Rocha.
Il est
venu au Brésil en 1968, pendantl’époque
de la dictature militaire, parce qu’il était militant politique, pour faire un
discours à des étudiants de l’université de Brasília. Cet événement est dans le
documentaire “Barra 68 – Sem Perder a Ternura (2001)” de Vladimir de Carvalho.
À partir
des années 80, il a commencé à travailler pour la production à la télé, tandis
que le cinéma n’était plus son but principal. Dans les années 90, il a été
recherché par quelques réalisateurs qui voulaient le faire réapparaître. Enfin,
son interprétation d’Antoine Doinel dans le film “Les Quatre Cents Coups” a été
élue à 98ª en le classement des cent plus grandes personnages de tous les temps
de la revue Premiere Magazine.
Jean
Paul Belmondo est un acteur français qui est né en 9 d’avril de 1933. Il est
fils du célèbre sculpteur Paul Belmondo et de la danseurese Madeleine Belmondo.
Pendant son enfance, il n’a pas bien étudié. Néanmoins il a développé une
grande passion pour la boxe et le football. Il a pensé devenir boxeur, mais il
a renoncé à fair du sport. Il a commencé à jouer quand il avait 17 ans. En 1954,
il a réussi à étudier au Conservatoire de Paris et a commencé aussi sa carrière
dans le cinéma en 1955 en interprétant plusieurs personnages secondaires. En
premier grand rôle a été dans “À Bout de Souffle” de Jean-Luc Godard em 1960,
que lui a permis de devenir un grand acteur de la Nouvelle Vague.
En 1964, il est
venu au en Brésil pour jouer le film “L’homme du Rio”, et tournera des scènes
colorés dans une ville qui venait d’être construite, Brasília, une relique historique
de la nouvelle capitale. En 2001, il a été hospitalisé pendant deux semaines, mais
il a bien récupéré. Il est important de dire encore qu’en2011, lors du festival
de Cannes, Jean-Paul Belmondo a reçu une Palme d'honneurpour l'ensemble de sa carrière. Il est apparu au festival accompagné de Barbara Gandolfi. Un documentaire
lui est consacré à cette occasion,Belmondo,
itinéraire..., avec une diffusion simultanée surFrance
2 et sur la Croisette.
Jean-Luc
Godard est un célèbre cinéaste d’origine franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris.
En 1954, il realize son premier
film, qui s’appelle “Operation Beton”. Quelques années plus tard, en 1959, il
termine la realization de son premier ling métrage, un très grand succès, “À
bout de souffle”. C’est le début de La Nouvelle Vague.
Les autres films
de Godard sont “Vivre sa vie”; “Pierrot le fou”; “Alphaville”; “Deux ou trois
choses”, etc.
Aprés 1968, il
s’occupe du cinema politique et produit “Jusqu’à la victoire” et “Le vent
d’Est”.
En 1984, son
film “Je vous salue, Marie” a provoqué la polemique et a inspire le nom d’un
club carnavalesque: “Je vous salue, Marly”, une satire de la première dame du
Brésil à l’époque, qui s’appelait “Marly”.
Au Festival de
Venise, il a reçu le prix “Lion d’or”, pour son film “Prénom Carmen”.
Cinéaste français, fondateur des cahiers
du cinéma et de la Nouvelle Vage avec ses collègues. Réalisateur, scénariste,
producteur, acteur et critique de cinéma ou auteurs de plusieurs ouvrages sur
le cinéma.
François Truffaut est né le 6 février
1932 à Paris, de père inconnu et d´une mère secrétaire au journal
L´Illustration. François Truffaut vit une enfance difficile. Il a été confié à sa grand-mère. Dans
son adolescence il était déjà passionné de lecture surtout de Balzac et de
cinéma, il découvre avec son ami Robert Lachenay le cinéma américain et en 1948
il ouvre un ciné-club, Cinémane au Boulevard Saint-Germain.
Truffaut rédiges ses premiers articles
dès 1950 à travers de la section cinématographique de Travail et Culture.
Ensuite il s´engage dans l´armée en 1951 suite à une déception
amoureuse. Aprés avoir fait de la prison militaire pour
désertion. il trouve en 1952,un post, au service cinématographique du ministère
de l´Agriculture.
Il
publie des articles dans les Cahiers du Cinéma qui est formé avec André Bazin,
Claude Chabrol, Jacques Rivette, Jacques Demy, Éric Rohmer et Jean-Luc Godard,
d’une équipe de jeunes journalistes enthousiastes . En 1954, il
publie dans les Cahiers « Une certaine tendance du cinéma
français», un texte pamphlétaire contre les cinéastes de « qualité
française ».L'article vise
notamment les scénaristes Jean Aurench et Pierre Bost, et le réalisateur Claude
Autant-Lara. Il défend le cinéma d´auteur contre lecinéma commercial avec une grande intransigeance,
un dogmatisme de jeunesse qu'il confiera regretter dans des propos recueillis
en 1984 par Bert Cardullo.
Il réalise un
bout d´essai, Une visite, son premier film, et rédige le scénario d' À
bout de souffle. L´année suivante, en 1955, il réalise ses premières interviews
d' Alfred Hitchcock, et publie, à côté d'un
hommage dévot à Jean Cocteau, une nouvelle, Antoine et
l'orpheline, dans la revue La Parisienne..). Il ne tarde pas à obtenir une certaine notoriété et participe à
l’émancipation d’un cinéma d’un nouveau genre, plus libre. Protagoniste d’un mouvement d’idées
novatrices, le critique brûle de passer à la pratique. Il realize
d´abord deux courts métrages (Une visite,
1954 ; Les Mistons,
1957). En 1958, il est interdit de festival de Cannes, a cause de ses très
violentes critiques contre l´industrie française du cinéma.
Il écrit et réalise Les Quatre Cents Coups, son premier long métrage, en 1959. Trois de
ses longs métrages sont centrés sur des personnages d´enfantsDans ce premier film, (Les Quatre cents
coups) le cinéaste s’inspire de sa propre enfance (L'Enfant sauvage et L'Argent
de poche, aussi). Salué par la critique et le public, récompensé par
le Prix de la Mise en Scène au Festival de Cannes, Le film participe à
l’émergence de la Nouvelle Vague, un mouvement cinématographique qui bouleverse
les codes du cinéma, et composé en partie de critiques des Cahiers
devenus cinéastes (Jean-Luc Godard,
Claude Chabrol,
Eric Rohmer…).
Le film est également le premier opus de la saga Antoine
Doinel qui sera complétée par quatre épisodes (Antoine et
Colette, 1962 ; Baisers volés,
1968; Domicile
conjugal, 1970 ; L' Amour en
Fuite, 1979). Cette même année son scénario A bout de
souffle est adapté par Jean-Luc Godard,
un cinéaste dont il est très proche avant que des divergences ne les séparent.
« Je fais des films pour réaliser mes rêves
d´adolescent, pour me faire du bien et, si possible, faire du bien aux autres.»
Cinéaste
exceptionnel, François Truffaut est également un homme qui aimait les femmes,
autre de ses influences dans ses oeuvres.
La relation aux
femmes, l'impossible entre éros et thanatos, est le sujet central de la
plupart des films de Truffaut quand il ne s'agit pas de l'enfance. Sept d'entre
eux dressent le portrait d'une femme dont la victime est un héros emprisonné
dans une relation pathologique. L'héroïne est folle
d'amour, folle jusqu'au meurtre, dans La Peau douce,
La Mariée était en noir,
Une belle fille comme moi et La Femme d'à côté. Dans La Sirène du Mississippi,
c'est le héros qui est conduit par sa sirène fatale
au crime passionnel. Dans L'Histoire d'Adèle H., l'érotomanie
de l'héroïne se retourne contre elle même. Seule la grande amoureuse jouée par Fanny Ardant
dans Vivement dimanche! manipule le héros pour
son salut.
« Les jambes des femmes sont comme des compas qui
arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son
harmonie. »
« Aucune femme n'est pareille. Chacune
a quelque chose
d'unique
et d'irremplaçable.
»
Cinéaste autobiographique,
François Truffaut apparaît comme acteur de plusieurs de ses films. Il est le
personnage principal de La Chambre
verte (1978), La Nuit américaine (1973), L'Enfant
sauvage (1970) .
« Qu'on écrive
un roman
ou un scénario, on organise des rencontres, on vit
avec des personnages ; c'est le mêmeplaisir, le mêmetravail, on intensifie la vie.
»
Très proche de ses actrices, il
collabore régulièrement avec les mêmes comédiennes, telles que Jeanne Moreau (Jules et Jim, La Mariée était
en noir), Catherine Deneuve (La Sirène du
Mississipi, Le Dernier métro), Nathalie Baye (La Nuit américaine, La Chambre verte) ou
encore Fanny Ardant (La Femme d'à côté, Vivement dimanche !).Cette dernière a d’ailleurs été sa dernière
compagne et restera à ses côtés jusqu'à son décès le 21 octobre 1984, des
suites d’une tumeur cérébrale à seulement cinquante deux ans.
Victime d´une tumeur
cérébrale, en mars 1984, il apparaît sous le masque de la maladie
dans l'émission Apostrophes que Bernard Pivotlui consacre à l'occasion de la réédition, sous le titre Hitchcock /
Truffaut , du livre qu'il avait publié sur son maître en 1966. L'intervention
chirurgicale ayant été trop tardive, la mort survient le 21octobre1984 à l'hôpital américain de Paris de Neuilly-sur-Seine.
Il est incinéré au cimetière du Père-Lachaise et ses cendres
sont déposées au cimetière de Montmartre à Paris.
Aujourd’hui encore, l’œuvre de
François Truffaut continue d’influencer des générations de cinéastes, que cela
soit à travers ses films mais également par ses écrits (notamment ses célèbres
entretiens avec Alfred Hitchcock). Plusieurs documentaires lui
sont consacrés dont François Truffaut : portraits volés
(1992), François Truffaut, une autobiographie
(TV) (2004) ou encore Deux de la vague (2007), retraçant son amitié
passionnelle et houleuse avec Jean-Luc Godard.
Films notables
Les Quatre Cents Coups Jules et Jim La Peau douce Fahrenheit 451 La Mariée était en noir Baisers volés L'Enfant sauvage Les Deux Anglaises et le continent La Nuit américaine L'Argent de poche L'Homme qui aimait les femmes La Chambre verte La Femme d'à côté Le Dernier Métro.
Prix et Nomination
Festival
de Bruxelles 1958 : prix de la mise en scène pour Les
Mistons
Festival de Cannes 1959 : Prix de
la mise en scène pour Les Quatre Cents Coups
Oscars 1974 : Oscar du meilleur film étranger
pour La Nuit américaine
Césars 1976 : nomination au César du meilleur réalisateur
pour L'Histoire d'Adèle H.
Césars 1981 : César du meilleur réalisateur
pour Le Dernier Métro
Césars 1981 : César du meilleur film pour Le Dernier Métro
Césars 1981 : César du
meilleur scénario original ou adaptation pour Le Dernier Métro
Césars 1984 : nomination au César du meilleur réalisateur pour Vivement dimanche !